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 BG Kzertus (avant les lames)

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Kzertus
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Kzertus


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MessageSujet: BG Kzertus (avant les lames)   BG Kzertus (avant les lames) Icon_minitimeJeu 24 Mai 2007 - 21:19

D'aussi loin qu'il s'en souvienne, la famille de Kzertus n'avait jamais compté que deux personnes : son père et lui. Bien sûr ce n'était pas son vrai père. Gartak “Le Chauve” était un nain typique, rigolard, bagarreur, bourru, très porté sur la boisson mais d'un courage sans faille et avec le coeur sur la main. C'est la raison qui fit qu'il l'avait recueilli à la mort de ses parents.
Kzertus ne s'en souvient pas, mais son “père” lui avait raconté très tôt, par soucis d'honnêteté.

Il l'avait trouvé dans les ruines d'un maison entièrement brûlée, dans les bras d'une femme affreusement mutilée. Il ne pleurait pas. Le corps de son père gisait à quelques centaines de mètres de la demeure, entouré de plusieurs cadavres d'orcs. Gartak n'avait pas hésité, ce n'était pas dans son caractère de laisser un bébé à une mort certaine. Il lui apprit les rudiments du combat, et l'art du minage.

Kzertus avait 14 ans quand son père fut assassiné. Bien qu'agile, le jeune homme était encore un peu fluet pour combattre réellement. Plutôt maigrichon, son père aimait à le taquiner sur sa “faible constitution” selon ses propres mots.

Alors qu'il rentrait d'un entraînement, il entendit des bruits de lutte et des cris poussés dans une langue qu'il ne connaissait pas et qui venaient de la maison. Il reconnu parmi ces cris ceux de son père. Il se précipita et entra dans la pièce, faisant fi de toute prudence. Au moment où il entra, un orc gigantesque transperça le corps de son père de son épée. Le regard du nain croisa celui de Kzertus. Une lame émoussée sortait de la poitrine de son père, qui tomba au sol. Kzertus serra les poings et s'avança doucement vers le corps de son père. Il y avait trois orcs et deux de ces espèces de gros bovins dans la pièce. Sans rien dire, ils regardaient l'adolescent frêle et désarmé avancer au milieu d'eux et s'agenouiller devant le corps du nain. Il était mort. Kzertus regardait l'être que toute vie avait quitté. Il serra les poings un peu plus, il sentait la rage l'envahir.
Il aperçut parmi les débris de meubles près de lui un pied de chaise brisé. Il regarda à nouveau le corps sans vie et murmura :

- “C'est pour toi, papa.”

Vif comme l'éclair, Kzertus s'empara du pied de chaise et sauta d'un bond sur le tauren le plus proche. Totalement surpris par la soudaineté de l'attaque, le tauren n'eut pas le temps d'éviter le jeune garçon qui lui enfonça presque entièrement le pied de chaise dans l'oreille en poussant un cri de rage. Le regard du tauren se figea, puis il tomba de toute sa masse sur le sol. Les guerriers restant regardèrent le corps de leur compagnon, interloqués. Kzertus mit ce répit à profit et sorti vivement par la fenêtre juste avant d'entendre les voix des assassins rugir derrière lui. Il courut aussi vite qu'il pu en direction de la montagne, sans jamais se retourner. Lorsque, complètement épuisé et à bout de souffle, il s'arrêta enfin, plus personne ne le suivait.

Il avait froid, ses vêtements légers étaient couverts de neige fondue et de sueur. Ensuite, le trou noir. Il se réveilla dans une grotte devant un petit feu de bois mourant, grelottant de froid. Il regarda autour de lui, les murs étaient d'un brun rougeâtre, probablement riches en fer. Il percevait le bruit du vent qui hurlait à l'entrée de la grotte, bien qu'il ne la voyait pas. Son corps était terriblement engourdi, et il ne pu se lever, se contentant de marcher à quatre pattes vers le feu pour le raviver.

Il attendit d'avoir retrouvé une température normale pour commencer à réfléchir. Il ne pouvait pas redescendre, et ça ne lui servait à rien, il n'avait plus rien. Son père avait toujours vécu en solitaire, donc il ne connaissait que lui. Et puis il avait peur... Peur que ces assassins l'attendent.

La faim lui vrillant les entrailles, il fini par se résoudre à sortir de la grotte pour aller chercher à manger. Le vent glacial lui cinglait le visage, le froid s'insinuait partout. Il n'avait pas la force de chasser, il se contenta de ramasser quelques baies et racines, qu'il mangea avec dégoût. Il retourna ensuite dans la grotte, son feu ne s'était pas éteint et il rapportait du bois. La douce chaleur du feu rendait la température plus agréable. Il se coucha, tentant de dormir, le fantôme de son père dansait au rythme des flammes.


Kzertus regardait le grizzly fixement, chacun se tenait sur ses gardes. Chacun voyait en l'autre un repas potentiel. Kzertus était armé d'une grosse branche très solide qui avait apparemment déjà servi, d'après les traces de sang séché qui la maculaient.
Cela faisait des années qu'il avait fuit dans les montagnes. Quinze, peut être vingt ans à vivre dans ces montagnes, et pas le premier plantigrade qu'il rencontrait. Il avait gagner en muscles, seul moyen de se protéger de la nature sauvage ou seule la loi du plus fort régnait. Le rayonnement du soleil sur la neige et le froid avaient blanchi ses cheveux et éclairci ses yeux, son corps était devenu insensible à la morsure du froid, et sa peau était couverte de cicatrices de coup de griffes, de crocs et d'épines. Il était vêtu d'une espèce de vêtement de fourrure qui lui couvrait les épaule et le torse. Ses bras puissants étaient nus et son pantalon semblait fait lui aussi de fourrure.

L'ours se dressa sur ses pattes arrières, il devait mesurer pas loin de quatre mètres et peser ses cinq ou six quintaux. Mais c'est ce que Kzertus attendait, il se précipita vers l'ours avec agilité et lui asséna un grand coup de sa masse de fortune dans la cage thoracique, ce qui eu pour effet de couper momentanément le souffle de la montagne de poil et de muscle. Il se remit sur ses quatre pattes et Kzertus en profita pour grimper sur son dos et passer ses bras autour de son cou, serrant de toutes ses forces et s'accrochant au corps de l'ours avec ses jambes pour éviter que celui-ci l'envoie voler à quelques mètres du sol. L'ours, reprenant ses esprits, se mit à se débattre furieusement, cherchant à attraper ce parasite qui lui servait d'écharpe. Kzertus serrait de plus en plus fort, il ne pouvait étrangler une masse pareille, protégée par sa fourrure épaisse et son cuir qui ne l'était pas moins. Mais à force de serrer, Kzertus limitait tout de même le flux sanguin vers le cerveau de l'animal, qui commençait à fatiguer. Le souffle de l'ours devenait plus court, ses mouvements étaient moins vifs. Kzertus attendit encore que l'ours s'affaiblisse un peu plus, et lorsque ce dernier s'arrêta un instant de bouger, il lâcha son cou et récupéra sa masse. Il prit un énorme élan et frappa l'ours sur la nuque de toutes ses forces. L'ours épuisé chancela en émettant un grondement sourd. Kzertus frappa à nouveau, puis encore, et encore... Il ne s'arrêta que lorsque la neige se teinta de rouge. Kzertus reprit son souffle, souriant devant sa proie.
Il retourna à la grotte pour chercher des cordes qu'il avait fabriquées avec des racines et les utilisa pour remorquer le cadavre de l'ours jusqu'à l'entrée de la grotte.

Alors qu'il s'affairait à dépecer l'ours et à découper les morceaux de viandes, son regard fut attiré par un mouvement non loin de lui. Il attrapa sa masse et chercha du regard l'intrus. Un jeune loup, maigre et à bout de force, s'approcha de Kzertus en grognant pitoyablement. Il avait dû être alléché par l'odeur du sang, et, affamé, avait décidé d'attaquer Kzertus, alors qu'il n'avait aucune chance. Renonçant à un combat aussi facile, et sachant qu'il avait plus de viande qu'il ne lui en fallait, Kzertus lança un morceau de viande fraîche au loup. Celui-ci regarda Kzertus, incrédule.

– "Fous-moi l'camp avant qu'j'change d'avis..."

La faim prenant rapidement le dessus sur la curiosité, le loup commença à manger le morceau de viande, puis emporta ce qu'il restait vers la lisière du bois. Kzertus retourna à son travail, lorsqu'il entendit des petits jappements venir de l'endroit où le loup avait disparu. Kzertus leva un instant la tête et sourit. Voilà d'où venait sa hardiesse... C'était une jeune maman, et elle était prête à risquer sa vie pour sauver ses petits. Kzertus attrapa un autre morceau de viande et l'apporta à la jeune famille. Les louveteaux jappaient joyeusement, jouant dans la neige. Ils se battaient, puisque c'est ainsi que s'apprend la vie. La jeune louve était couchée, surveillant les gestes de Kzertus, et couvant ses petits du regard.

Il n'était pas du genre à s'apitoyer, mais voir ses petits s'amuser entre frères et soeurs intensifia le sentiment qui se faisait de plus en plus présent ces derniers temps.
Le lendemain, Kzertus décida de quitter la grotte et de redescendre, mais vers le Sud. Peut être avait-il encore inconsciemment peur que les assassins de son père l'attendent à Ironforge.
Il arriva donc à l'Abbaye du Northshire, où il demanda l'asile.
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Kzertus
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MessageSujet: Re: BG Kzertus (avant les lames)   BG Kzertus (avant les lames) Icon_minitimeJeu 31 Mai 2007 - 19:32

Deuxième partie



Kzertus ne chercha de pas de prime abord à se faire des amis. Mais personne ne lui posait de questions, ce qui l'arrangeait. On lui donna quelques travaux à réaliser, des nuisibles à exterminer, des humains mal intentionnés à corriger. Après les grizzlys, il trouvait ces tâches aisées. Mais surtout, elles lui permettaient de gagner un peu d'argent, et de se familiariser à nouveau à la vie avec les siens. Il avait pris ses habitudes dans la taverne de la Fierté du Lion, à Goldshire. L'odeur du houblon et de la forge juste en face lui rappelait son enfance.

Un soir qu'il buvait tranquillement sa bière, un troupe de marins entrèrent dans la taverne. Plutôt bruyants, ce qui ne gênait pas vraiment Kzertus. Ces marins se présentaient comme des marchands, mais ne semblaient pas vraiment avoir des manières de commerçants. Mais Kzertus ne jugeait pas. Alors qu'ils parlaient entre eux, Kzertus perçut un nom, ou plutôt un surnom : “Vive Flamme”. Ce surnom le fit revenir des années en arrière, lorsque devant la lueur de la cheminée, son père lui racontait des histoires fantastiques de pirates sans foi ni loi, écumant les mers des deux continents sur leur navire dont la simple évocation faisait frémir les marchands de toutes races : le Blackseed. Le capitaine Delram, aussi célèbre pour sa cruauté que pour son courage, et son second : “Vive Flamme”. La légende voulait qu'il ait acquis ce surnom en détruisant son précédant navire à coup d'explosifs. Maître canonnier qui effrayait les marins de Lordaeron par sa précision incroyable. Capable, disait-on, de démâter un navire à coup sûr à un mille de distance. Alors qu'il se remémorait ces histoires, des détails lui revenaient. Elles parlaient d'un homme, surnommé le Bouc, à cause disait-on de son odeur et de sa fâcheuse tendance à exploser le crâne de quiconque l'énervait. Une brute parmi tant d'autres. Mais surtout, parmi toutes ses brutes figurait une femme. Surnommée la Muette, elle contrastait avec le reste de l'équipage par sa beauté confondante, mais n'était pas pour autant une enfant de coeur.
Kzertus observait discrètement ces “marins”. Ils ressemblaient étrangement aux histoires de son père. Et si ce n'était pas des histoires ?
Celui qui devait être Vive Flamme, devant se sentir observé, leva un instant les yeux vers l'homme peu vêtu, en train de siroter sa chope au bar, et regardant dans sa direction. Nullement décontenancé, il leva discrètement sa chope pour saluer le “marin”. Qui lui répondit par un signe de tête, puis reporta son attention sur la conversation en cours.
Plus tard dans la soirée, et après quelques litres de bière, l'équipage quitta la taverne. Kzertus sorti lui aussi, un peu après. La forêt était calme, seul le vent faisait murmurer les arbres de la forêt d'Elwynn. En retournant vers l'abbaye, Kzertus aperçu une silhouette en train de discuter avec un des défias qui rackettaient les villageois s'aventurant dans la forêt à la nuit tombée. La silhouette tua le défia avec une rapidité impressionnante. Kzertus s'approcha et reconnu l'homme qui l'avait salué. Kzertus sourit, et lança à l'homme vêtu de rouge :

- “Pas mal pour un simple marchand...”

L'homme se retourna et regarda Kzertus sans rien dire. Kzertus décida de tenter le coup.

- “Vous êtes Vive Flamme, hein ? Second du Blackseed.”


L'homme sourit mystérieusement et fit volte-face et s'éloigna dans les ténèbres.

- “Nous n'sommes qu'des marchands... Qui n'aiment pas qu'on s'mèle de leurs affaires...”

Kzertus regarda l'homme disparaître dans la forêt. Il en était maintenant sûr, il avait vu juste. Plus que son comportement, c'est le calme et la force dont étaient teintées ses paroles qui l'avaient convaincu. De cet être se dégageait une certaine aura. Une intuition que cet homme qui n'avait pourtant rien d'exceptionnel pouvait vous tuer avant que vous n'ayez eu le temps de comprendre qu'on vous attaquait.

Quelques jours plus tard, Kzertus rencontra à nouveau Vive Flamme. Il lui avoua qu'il savait tout, et qu'il n'avait aucune intention d'en parler, mais plutôt de les rejoindre. Il avait besoin de liberté, d'aventure et de sang. Cela fit rire l'homme, mais il lui accorda un duel. Kzertus était puissant mais l'homme en face de lui avait l'expérience du combat et jouissait d'une agilité surprenante. Dès la première attaque, Kzertus se retrouva à terre, assommé d'un seul coup placé avec une extrême précision. Quand il revint à lui, le voleur était assis devant lui, et lui sourit.
- “Si tu sais qui j'suis, pourquoi tu m'as défié ?”
- “Parce que c'est pas tous les jours qu'on peut s'battre contre une légende... Et puis j'risquais rien.”
- “Rien ? J'aurais pu t'tuer en une seul attaque.”
- “J'sais... Mais y a trop d'gardes ici, et l'combat est trop facile.”

Vive Flamme sourit.
- “J'ai p't'être quelque chose à t'proposer... Mais j'sais pas si t'es à la hauteur.”
- “Je l'suis pas... Quand je s'rai capable de t'toucher... Tu m'accord'ras un autre duel ?”

Le pirate éclata de rire, puis lança avant de disparaître :
- “Vas t'falloir quelques années, le Bavard !”

Kzertus s'entraîna sans relâche pendant des semaines, essayant de maîtriser sa puissance, et les armes qui allaient devenir ses instruments de travail. Il revit Vive Flamme par deux fois. Chacune fut un échec. Mais lors du troisième duel, le guerrier réussi à blesser le voleur à l'épaule. Bien qu'il perdit le duel, cela fut pour lui une victoire, et la possibilité d'avoir une entrevue avec Delram, Barbe Grise. Il écrivit une missive que Vive Flamme remit à son capitaine.
Après une entrevue où le guerrier fut impressionné par le charisme du marin, pour qui il était impossible de ne pas éprouver du respect, celui-ci lui signifia qu'il faisait désormais parti du Blackseed. Son dernier engagement. Personne ne quittait le bateau vivant. Et comme pour prouver ses dires, le capitaine demanda à son nouveau mousse de l'accompagner.

Il retrouvèrent dehors deux femmes. L'une d'elle était surnommée La Dragonne, et faisait visiblement parti de l'équipage. La légende n'était donc pas totalement vraie, il y avait au moins une deuxième femme dans l'équipage. Belle, mais visiblement dangereuse. La femme à ses côtés était vraiment belle, la peau bronzée et habillée élégamment. Visiblement, le capitaine ne l'appréciait guère. De ce qu'il comprit, cette femme, répondant au nom de Comète, avait quitté le navire, et donc devait mourir. Le capitaine regarda Kzertus et lui fit un signe. Kzertus avait compris, mais hésita. Frapper une femme le gênait visiblement. Le capitaine commença à s'impatienter et ordonna à Kzertus de montrer à cette femme que ses ordres n'étaient pas fait pour être transgressés. Kzertus ferma un instant les yeux, et se dit que cette femme avait du faire des choses horribles, puis abattit une de ses masses sur elle. Elle s'effondra, l'épaule disloquée. Le capitaine le regarda, puis lui demanda si c'est tout ce qu'il avait dans les bras, le traitant de lavette. Kzertus serra les dents puis abattit son autre masse sur la femme à terre, et encore... Jusqu'à ce que le capitaine lui intime l'ordre d'arrêter, visiblement ravi. La capitaine sorti son fusil et mit la femme à terre en joue, mais La Dragonne lui demanda de ne pas la tuer, et lui chuchota quelque chose à l'oreille. Le capitaine baissa son fusil puis siffla entre ses dents :
- “T'as d'la chance que j'en doive une à la Dragonne, Comète... J'te laisse vivre pour cette fois... Fais-là disparaître de ma vue...” Il rangea son fusil et tourna les talons, laissant la Dragonne porter Comète en ville,.
Il dit à Kzertus qu'il s'en était bien sorti, et lui dit de foutre le camp lui aussi.

Il vécut presque un an avec cette équipage, avant qu'il ne finisse par se dissoudre à cause de mutineries de plus en plus fréquentes. Le capitaine était de plus en plus absent, et les pirates s'énervaient de plus en plus de l'inactivité du Blackseed.
De son côté, Kzertus multipliait les conquêtes amoureuses, rattrapant les années qu'il avait perdu.

Il finit par tomber sur une femme avec qui il eut des relations chaotiques mais passionnées. Ils s'aimaient. Mais un soir, la jeune femme lui annonça qu'elle portait l'enfant de celui qui était son mari, et qu'elle avait quitté pour Kzertus. Elle du donc partir pour faire naître l'enfant en sécurité et promit à Kzertus de revenir dès qu'elle le pourrait.
Au bout de plusieurs mois, impatient et rongé par la solitude, il décida de partir à sa recherche. Il traversa le monde plusieurs fois mais ne retrouva jamais son aimée.
Il déprima longtemps, cherchant un sens à son existence, mais ne voulait pas s'avouer vaincu, et entendit un jour parler d'une milice de mercenaires. Être payé pour se battre, voilà un concept qui lui plaisait et qui lui permettrait sûrement d'évacuer un peu la rage et le désespoir qui commençait à le ronger de l'intérieur. A force de pugnacité, il finit par convaincre le Général de cette milice de lui laisser sa chance. Il était désormais milicien des Lames de Galen, au service du prince de Stromgarde.
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